Tribune pour Aleteia

Autour de nous et en nous, trop souvent : l’agitation, l’inattention, le blasement, la fuite du temps, du présent, l’endurcissement, les « to do » liste, les choix plats ou maladroits, le moral raplapla. Mais aussi ces quêtes et ces aspirations si profondes et si humaines qui habitent chacun d’entre nous : le désir de bon, de bien, de beau… D’être plus, mieux, heureux. D’apprendre, de progresser. De se donner, servir, orienter sa vie. De vivre vraiment, ici et maintenant, au milieu de cet appel à la vie qui nous envahit, malgré tout et malgré nous. 

Dans un monde assoiffé de sens et d’espérance, trop souvent désorienté par la tentation de maîtrise et de possession, il y a un secret, une « science » éternelle de la vie à (re)découvrir aujourd’hui : la grâce et la puissance de l’émerveillement. Antidote souverain contre le désenchantement et le cynisme qui gangrènent notre temps. Pour Socrate, « la sagesse commence dans l’émerveillement ». L’émerveillement est au commencement de tout. En plongeant dans ce thème éblouissant, il m’a été donné d’entr’apercevoir quelque chose de si beau, que j’ai envie de nous le prescrire maintenant, à moi aussi, sans la moindre peur, car il n’y a aucun risque de contre-indication, d’intoxication ou de pénurie. L’émerveillement est là. À portée de Souffle. 

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